Intéressé·e ?
Rejoignez-nous !

Mimi Pâtisserie - Mélanie Kuta

4430 Ans
0470/62.46.26
kuta.melanie@gmail.com

1 ; Expliquez votre projet en quelques lignes… (dates, concept, …)

J’ai lancé Mimi Pâtisserie en octobre 2018.
Je travaillais avant dans l’édition, j’ai ensuite pris des cours du soir et je suis partie à Londres pendant deux ans. À ce moment-là, j’ai repris des cours en pâtisserie et j’ai travaillé dans différentes enseignes sur place. En rentrant en Belgique, j’ai lancé mon projet sur trois axes.

  1. Cours de pâtisserie pour particuliers.
  2. Réalisation de gâteaux d’anniversaire pour tous types d’événements (mariage, communion, anniversaire…)
  3. Création d’un partenariat avec épiceries, traiteurs à que je fournis mes produits pendant la semaine.

 

2 ; Comment votre entreprise a -t-elle évolué ?

Un peu naturellement, au début de petite commande à petite commande. Le plus gros changement, c’est avec le Covid, parce que je donnais beaucoup de cours de pâtisserie et je ne faisais pas beaucoup de commandes aux particuliers. Lorsque le Covid est arrivé, j’ai dû arrêter les cours et j’ai commencé à contacter des épiceries et des restaurants pour les fournir. C’est ainsi que mon troisième axe de travail s’est créé. Et la deuxième grosse évolution, c’est qu’il y a un an, on a déménagé dans un atelier plus grand et j’ai désormais une employée qui travaille à temps pleins avec moi.

 

3 ; Parlez-nous de votre test en couveuse d’entreprises ?  Est-ce que la réalité du terrain était celle que vous aviez imaginée ?

Oui, mon test en couveuse s’est vraiment bien passé. J’avais déjà de l’expérience, je connaissais déjà la réalité du terrain. J’ai été très bien accompagnée.

 

4 ; Quand vous êtes-vous dit qu’il était temps de créer votre entreprise ?

Avant de commencer à travailler dans mon job précèdent, je savais que j’allais devenir indépendante, mais je ne savais pas quand.  Je savais que c’était cela que je voulais faire.

 

5 ; Que gardez-vous comme image précise de Job’In ?

Je garde de bons souvenirs des rendez-vous et des formations. C’était chouette d’être en groupe, c’est ça qui rythmait vraiment la couveuse.

 

6 ; Quel sentiment avez-vous eu en quittant la couveuse ?

Je me trouvais bien préparée. J’avais été bien préparée à la sortie, parce qu’on avait pris le temps de voir si j’étais prête ou pas. Je n’ai pas eu peur de sortir de la couveuse.

 

7 ; Quand vous êtes-vous dit que c’était gagné ? 

Ce n’est jamais vraiment gagné, je vais de challenge en challenge. Quand un défi est gagné, je m’en relance un. On se dit, « c’est quoi e prochain ». Avec la situation actuelle, ce n’est pas évident avec les matières premières. Je ne sais pas si un jour, je pourrais me dire que c’est gagné.

 

8 ; Pouvez-vous me raconter une anecdote

Il n’y a pas une semaine, où je ne croise pas des gens qui ont été en couveuse. C’est là que l’on se rend compte que le monde est vraiment petit et que pas mal de personnes connaissent Job’In.

 

10 ; Un conseil pour ceux qui vont tester ou se lancer ?

Il ne faut pas faire ce choix par dépit car ça demande énormément de temps, d’argent et de sacrifices personnels. Si vous voulez vous lancer, allez-y !

Do Not Track détecté